Le 17 avril 2013 à 10:26
Primeurs 2012 : de belles promesses
Si vous êtes amateurs de vins de Bordeaux, vous avez déjà certainement entendu parler (voire même acheté) des « primeurs ».
Chaque année, en avril, c’est l’effervescence dans le vignoble bordelais : les vins du millésime précédent (2012 donc pour cette année) sont proposés à la dégustation, et cet événement fait grand bruit ! Journalistes et autres professionnels du monde entier se bousculent pour donner leur avis sur le potentiel des vins dégustés. Puis les propriétés fixeront leurs « prix de sortie », c’est-à-dire le tarif auquel l’acheteur pourra acquérir ces vins qui ne lui seront livrés qu’au bout d’un an et demi.
Un risque à prendre souvent motivé par un prix initial proposé en primeur moins élevé que le tarif auquel le vin sera mis en vente dans le futur.
Alors si vous disposez d’une cave et que vous êtes prêts à attendre patiemment l’arrivée de vos flacons, pourquoi vous priver ?
Voici un petit aperçu de ce qui s’est dit sur le millésime 2012 à Bordeaux.
A l’unanimité, 2012 ne sera pas un grand millésime de garde, mais une année fort agréable malgré tout, avec de très belles surprises, rassurez-vous.
Médoc. Si chaque dégustateur possède évidemment ses propres critères de dégustation, ses propres goûts, plusieurs avis s’accordent à dire que Margaux et Saint-Estèphe ont produit de très bons vins et sortent favorites des appellations médocaines.
Pessac-Léognan : des vins rouges à consommer dans les 8 à 10 ans, pas d’une garde exceptionnelle donc, mais des vins gourmands. La belle surprise vient des blancs, jugés à l’unanimité « très prometteurs ».
Sauternes-Barsac : la météo difficile a contraint les domaines à faire un tri draconien, ayant pour conséquence des rendements très faibles (vrai pour toutes les appellations). Si certains grands châteaux ont renoncé à produire ce millésime, il serait malgré tout dommage de passer à côté de certaines productions très appréciées. À noter que le terroir de Barsac a été plus favorable à la production de grand liquoreux que celui de Sauternes sur ce millésime.
Rive droite. A l’unanimité, c’est l’appellation Pomerol qui a fait le plus d’adeptes ! Davantage encore, que Saint-Emilion, pourtant grande parmi les grandes. La raison ? Des terroirs plus adaptés au climat capricieux de 2012, et une dominante de merlot, plus précoce que le cabernet-sauvignon, l’autre grand cépage rouge du bordelais.
Les premiers prix arrivent au compte-goutte, et d’ici quelques temps, vous pourrez acquérir vos vins préférés en primeur. Nous vous conseillons pour cela le site de nos amis http://www.chateauprimeur.com/ où tous les plus grands noms seront proposés à la vente.
Chaque année, en avril, c’est l’effervescence dans le vignoble bordelais : les vins du millésime précédent (2012 donc pour cette année) sont proposés à la dégustation, et cet événement fait grand bruit ! Journalistes et autres professionnels du monde entier se bousculent pour donner leur avis sur le potentiel des vins dégustés. Puis les propriétés fixeront leurs « prix de sortie », c’est-à-dire le tarif auquel l’acheteur pourra acquérir ces vins qui ne lui seront livrés qu’au bout d’un an et demi.
Un risque à prendre souvent motivé par un prix initial proposé en primeur moins élevé que le tarif auquel le vin sera mis en vente dans le futur.
Alors si vous disposez d’une cave et que vous êtes prêts à attendre patiemment l’arrivée de vos flacons, pourquoi vous priver ?
Voici un petit aperçu de ce qui s’est dit sur le millésime 2012 à Bordeaux.
A l’unanimité, 2012 ne sera pas un grand millésime de garde, mais une année fort agréable malgré tout, avec de très belles surprises, rassurez-vous.
Médoc. Si chaque dégustateur possède évidemment ses propres critères de dégustation, ses propres goûts, plusieurs avis s’accordent à dire que Margaux et Saint-Estèphe ont produit de très bons vins et sortent favorites des appellations médocaines.
Pessac-Léognan : des vins rouges à consommer dans les 8 à 10 ans, pas d’une garde exceptionnelle donc, mais des vins gourmands. La belle surprise vient des blancs, jugés à l’unanimité « très prometteurs ».
Sauternes-Barsac : la météo difficile a contraint les domaines à faire un tri draconien, ayant pour conséquence des rendements très faibles (vrai pour toutes les appellations). Si certains grands châteaux ont renoncé à produire ce millésime, il serait malgré tout dommage de passer à côté de certaines productions très appréciées. À noter que le terroir de Barsac a été plus favorable à la production de grand liquoreux que celui de Sauternes sur ce millésime.
Rive droite. A l’unanimité, c’est l’appellation Pomerol qui a fait le plus d’adeptes ! Davantage encore, que Saint-Emilion, pourtant grande parmi les grandes. La raison ? Des terroirs plus adaptés au climat capricieux de 2012, et une dominante de merlot, plus précoce que le cabernet-sauvignon, l’autre grand cépage rouge du bordelais.
Les premiers prix arrivent au compte-goutte, et d’ici quelques temps, vous pourrez acquérir vos vins préférés en primeur. Nous vous conseillons pour cela le site de nos amis http://www.chateauprimeur.com/ où tous les plus grands noms seront proposés à la vente.
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